J'ai aimé cette lecture, j'ai aimé le soubassement du texte qui parle au-delà de la chasse, des étangs qui ne gèlent plus et des Mohawks qui font dans l'immigration clandestine, car ce ne sont que les manifestations extérieures d'une histoire au long cours dont la violence sourde travaille les fondements du monde depuis si longtemps, qu'on se demande si une autre fin du film est possible. Après, comment partager un tel texte sur les réseaux sociaux sans que la discussion ne s'empêtre dans les dichotomies superficielles entre pro- et anti-chasse, pro- et anti-guns, pro- et anti-immigration?
Je comprends. Oui, c'est une façon de voir les choses. J'avoue ne pas me rappeler si j'ai partagé celui-ci de vos opus ou pas avec mes « ami-es » facebookiens.
J'ai aimé cette lecture, j'ai aimé le soubassement du texte qui parle au-delà de la chasse, des étangs qui ne gèlent plus et des Mohawks qui font dans l'immigration clandestine, car ce ne sont que les manifestations extérieures d'une histoire au long cours dont la violence sourde travaille les fondements du monde depuis si longtemps, qu'on se demande si une autre fin du film est possible. Après, comment partager un tel texte sur les réseaux sociaux sans que la discussion ne s'empêtre dans les dichotomies superficielles entre pro- et anti-chasse, pro- et anti-guns, pro- et anti-immigration?
La solution c’est de ne pas le partager. Je pense que le texte est bien en-dehors du circuit court des réactions sur les réseaux.
Je comprends. Oui, c'est une façon de voir les choses. J'avoue ne pas me rappeler si j'ai partagé celui-ci de vos opus ou pas avec mes « ami-es » facebookiens.